Scéance d'Accompagnement au deuil, Melun

Vous souffrez de la perte d'un proche, je vous aide

Tout apprentissage vise à nous faire grandir par le fait de « gagner » en autonomie, en confiance, en connaissances mais jamais à perdre. Et pourtant dans notre vie, nous sommes tous confrontés à plusieurs pertes que l'on pourrait comparer à de petites morts, qui préparent les plus grandes (déménagement, divorce, licenciement, retraite, maladie...).

Le deuil peut se définir comme le processus d'adaptation d'un individu au stress provoqué par une perte significative.

Dans « Totem et Tabou » de Freud, accepter la réalité de la perte, aimer le disparu d’une façon nouvelle sans pour autant renoncer à la vie, c’est sans doute ce que Freud entendait par l’expression « tuer le mort en nous », non pas le disparu, mais cette part obscure de nous qu’il faut convaincre de dire oui à la vie.

Plusieurs expressions existent comme « faire son deuil », « être en deuil » , « travail de deuil » , « apprivoiser le deuil » ... Certaines personnes n'aiment pas ces termes , ils n'ont d'ailleurs aucun sens pour elles. Pourquoi ne pas les laisser définir par leurs propres mots ce qu'est leur deuil ?

En réalité, dans le deuil , « il s'agit d'un travail inachevé de vie et de mort, d'une tâche inachevée sur les tâches achevées » selon Kurt LEWIN.

Selon le dictionnaire Petit Robert , « achever » vient de l’ancien français «chief» au sens de «  bout, fin  » , finir généralement d’une façon satisfaisante, en menant à bonne fin. L'expression « faire son deuil » ne contiendrait-elle pas secrètement ce concept ? Certains refusant le travail de deuil diront : «  mais que dois-je achever d’abord : une tâche, une situation, une expérience... ? »
Et pourquoi faudrait-il achever ce quelque chose que je n’ai pas encore défini ? Et si j’achève, alors serai-je enfin une personne en paix?

Il existe une tendance du sujet à percevoir chaque figure comme une forme complète, achevée, qui lui permet de comprendre et de donner du sens à son expérience. Cette tendance va le pousser à compléter visuellement une figure incomplète (par exemple, relier des points pour voir un cercle) ou plus largement à achever une expérience qui lui semble incomplète.

Apprivoiser la mort reviendrait à fermer ce cercle qui a été brutalement inachevé, en reliant ces points qui représentent l'incompréhension, l'absence,... pour tenter de mener à bonne fin cette perte.

Certaines personnes s'interdisent de passer à cette nouvelle réalité, d'autres s'en sentent incapables tellement la douleur est forte. Parfois, elles sont dans le déni, en pensant que le deuil est « digéré » . Chacun affronte cette épreuve de perte selon ses croyances.

L'entourage peut parfois être démuni pour accompagner la personne ayant subit une perte et lui permettre de s'attacher à de nouveaux projets, espoirs et réapprendre à vivre différemment.

Le sortir du deuil , accepter vraiment la situation : « Ce qui me manque me manque mais je peux vivre » peut revêtir différentes aides : le système associatif, l'accompagnement thérapeutique par des psychologues, et l'accès à d'autres techniques alternatives.

Les associations  Vivre son deuil, SOS Amitié Détresse, SOS Dépression sont présentes dans chaque région . Elles fonctionnent chacune de façon différente avec des entretiens, une ligne d'écoute, des groupes de paroles, des activités. L' association Coeurendeuil est présente en Seine-et-Marne.

Il existe d'autres méthodes comme la kinésiologie qui se base sur plusieurs techniques comme l'EMDR (retraitement des émotions enregistrées lors d'un événement par les mouvements occulaires) et bien d'autres protocoles qui me sont propres. L'accompagnement est doux , non intrusif et a fait ses preuves.

Plusieurs séances peuvent être nécessaires, toujours espacées de plusieurs semaines le temps que le corps puisse intégrer le changement.

Accompagnement au deuil

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